C'est sure, mais du coup personne ne peut prétendre que l'Eglise a eu une attitude irréprochable durant cette période ...Kerniou a écrit :Je répondrais à Antestor que les choses changent et c'est heureux. Il y a les textes pontificaux et les pratiques au jour le jour.
Bien vuetienne lorant a écrit :Sans doute parce qu'entre le papier et l'application, il y a le "facteur humain", toujours faible et débile mais toujours prompt à se croire fort ?
C’est assez étrange, comment expliquer cette déviance du « facteur humain » ?
Je doute que l’explication ne soit que dogmatique (soumission, chacun sa place…) mais plutôt une question de relations de pouvoir et d’intérêt personnels.
Une prof un jour m’a dit que la bourgeoisie et le clergé étaient très liés souvent parce que dans les familles riches le premier fils reprenait les affaires du père, le deuxième devenait chevalier et le troisième entrait dans la prêtrise… Est-ce un facteur de cette déviance ?