Après le mariage homosexuel d'autres étapes de destruction de la famille chrétienne risquent d'apparaitre.
On peut penser que les lobbys continueront leur lutte.
On va accepter l'adoption par des couples homosexuels.
Puis on passera à la procréation assistée.
Et à une certaine reconnaissance de la polygamie.
Oh ! Cela prendra du temps !
Mais avec de bons propagandistes on arrivera bien à prouver aux français que tout cela est normal et bon.
Du Salon Beige :
http://www.lavoixdunord.fr/france-monde ... 0b0n756346
La revendication pour des mariages à 3 avance
De Jean-Michel Bretonnier dans La Voix du Nord :
"Le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, dans un style agité, a choqué en considérant que les partisans du mariage homosexuel pourraient, après cette évolution, en vouloir d’autres, comme « le couple à trois ou quatre ». « Après, poursuit-il, un jour peut-être, l’interdiction de l’inceste tombera. »
On lui a reproché d’établir un amalgame entre l’homosexualité, la polygamie et l’inceste. Le propos et la manière sont brutaux.
Mais une partie de la question n’est pas infondée. On évacuera l’inceste. Considéré comme le tabou le plus universel, il a résisté depuis la nuit des temps, et personne ne songe et ne songera à le remettre en cause.
Même la modernité la plus progressiste reconnaît ici une limite. En revanche, l’union a trois, ou plus, est reconnue légalement dans de nombreux États. La polygamie est acceptée, ou l’a été, par la majorité des religions. Celle de Mitt Romney, quand même candidat à la présidence des États-Unis, ne l’a suspendue qu’il y a un peu plus d’un siècle.
Le premier argument des partisans du mariage pour tous est celui de l’égalité des droits.
Le deuxième considère que le mariage n’est plus un groupement d’intérêts économiques pour les plus riches ou une sorte de mutuelle avant l’heure pour les plus pauvres.
Il est devenu essentiellement et d’abord un acte d’amour. Mais si l’amour est le seul fondement du mariage, comment l’interdire à un homme qui aime deux femmes, ou à une femme qui aiment deux hommes (ou plus) ?"
Michel Janva