Sur le féminisme
typique du cercle vicieux: le féminisme est une affaire d'abord bourgeoise. les femmes du peuple, les plus nombreuses donc, travaillent depuis toujours, et très dur. ce n'est pas depuis le féminisme, c'est depuis des siècles que certaines femmes "prennent la place des hommes" comme tu dis, parce que les hommes sont où? à la guerre, au bistrot ou ailleurs... mais pas où ils devraient être... le statut des femmes aujourd'hui en afrique, ou dans les dom, est éclairante. oh, comme les femmes aimeraient que les hommes ne laissent pas leur place vide!!!!!!
*sola*
"le grain pourrit quand on l'entasse et fructifie quand on le sème." st dominique
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- Christophe
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Re: Féminisme et « genre »
Dans mon couple, nos rôles respectifs sont clairement définis : je travaille à gagner l'argent du foyer, et mon épouse travaille à le dépenser.
Comme disait Pascal, l'homme est un roseau pensant. Et la femme, un roseau dépensant...
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- Hélène
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Re: Féminisme et « genre »
It's a dirty job... but someone's gotta do it...Christophe a écrit :et mon épouse travaille à le dépenser.
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Re: Féminisme et « genre »
Le problème vient du fait que les places de chacun ne sont pas respectées. L'homme occidental se féminise ; les symboles qui le représente sont critiqués : la guerre, le soldat, la protection de la famille, la virilité tout simplement. La femme, elle, découvre donc des hommes "patients, à l'écoute, comprenant ses problèmes", en somme de vrais femmes.
Je vous conseille de lire ce livre très interresant d'Eric Zemmour "le premier sexe" qui dépeint trés clairement notre société. A lire absolument.
extrait :"De plus en plus de femmes - même parmi les plus diplômées - se retirent du marché du travail au premier enfant. Les yeux des femmes se sont dessillés ; elles ont compris le piège que le capitalisme leur avait tendu ; tout se passe aussi comme si, inconsciemment affolées par la féminisation accélérée de leurs hommes, elles tentaient un rétropédalage désespéré. Il me semble en revanche que la plus grande résistance viendra des hommes, trop contents de s'être enfin débarrassés du fardeau qui court entre leurs jambes. Même si la soumission, l'humiliation, le malheur sont leur destin. "
Je vous conseille de lire ce livre très interresant d'Eric Zemmour "le premier sexe" qui dépeint trés clairement notre société. A lire absolument.
extrait :"De plus en plus de femmes - même parmi les plus diplômées - se retirent du marché du travail au premier enfant. Les yeux des femmes se sont dessillés ; elles ont compris le piège que le capitalisme leur avait tendu ; tout se passe aussi comme si, inconsciemment affolées par la féminisation accélérée de leurs hommes, elles tentaient un rétropédalage désespéré. Il me semble en revanche que la plus grande résistance viendra des hommes, trop contents de s'être enfin débarrassés du fardeau qui court entre leurs jambes. Même si la soumission, l'humiliation, le malheur sont leur destin. "
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- Barbarus
Re: Féminisme et « genre »
Il semble effectivement que l' homme occidental se féminise et que ce comportement soit mauvais . Je connais le thème du livre de Zemmour et ce qu'il dit me semble pertinent . Du reste il est loin d 'etre le seul à l' écrire . On en arrive au ridicule , parfois . Meme si l' habit ne fait pas le moine , j' habite dans une région touristique et l' été ( pas celui ci , bien sur ) il n'est pas rare de voir des couples quand il fait très chaud , lui en short et elle en jeans !! ce symbole de la masculinité , il n' y a rien à faire !! Elles sont prètes à tout pour le revendiquer ! Quitte à coucher avec!
Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dangereux
Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dangereux»
http://www.lefigaro.fr/international/20 ... gereux.php
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Se croire soi-même imparfait et trouver les autres parfaits, voilà le bonheur. (Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus)
Ce qui attire le plus de grâces du bon Dieu, c'est la reconnaissance, car si nous le remercions d'un bienfait, il est touché et s'empresse de nous en faire dix autres et si nous le remercions encore avec la même effusion, quelle multiplication incalculable de grâces ! (idem)
Ce qui attire le plus de grâces du bon Dieu, c'est la reconnaissance, car si nous le remercions d'un bienfait, il est touché et s'empresse de nous en faire dix autres et si nous le remercions encore avec la même effusion, quelle multiplication incalculable de grâces ! (idem)
Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
C'est très dangereux, rendez-vous compte: les hommes vont devoir apprendre à changer une couche et à se faire cuire eux-même une pizza en rentrant du boulot.
Notons au passage, qu'une femme est censée avoir des enfants. Cela semble être son unique rôle à part celui de bonniche. Tant pis pour toutes celles qui bossent dur, elles ont dû se tromper de vocation à cause de la propagande féministe.
Ce type de discours a fait son temps en ce qui concerne l'Europe occidentale et tant mieux.
Et si un couple décide de faire l'inverse, le monde s'écroule si j'ai bien suivi son raisonnement.«L'homme s'occupe à l'extérieur, il doit travailler, gagner de l'argent, alors que la femme doit s'occuper de l'intérieur, là où sont ses enfants», a-t-il insisté.
Notons au passage, qu'une femme est censée avoir des enfants. Cela semble être son unique rôle à part celui de bonniche. Tant pis pour toutes celles qui bossent dur, elles ont dû se tromper de vocation à cause de la propagande féministe.
Ce type de discours a fait son temps en ce qui concerne l'Europe occidentale et tant mieux.
Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
Je ne pense pas que ce soit cela le féminisme.JustineF a écrit :C'est très dangereux, rendez-vous compte: les hommes vont devoir apprendre à changer une couche et à se faire cuire eux-même une pizza en rentrant du boulot.
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Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
Il est assez intéressant de voir qu'en Russie, si les femmes laissaient aux hommes le soin de s'occuper de nourrir la famille, elles pourraient mourir de faim. De fait, la Russie est l'un des rares pays où les femmes sont là où on ne les trouve pas ailleurs : conductrices de bus et de camions, métiers du bâtiment, etc. Les Russes n'ont en général qu'un enfant car ils ne peuvent guère se permettre d'en élever plus, d'autant que souvent, la femme se retrouve seule, avec un mari qu'elle a mis dehors. En cause : le taux d'alcoolisme masculin en Russie qui est le plus fort d'Europe.
Une amiie russe me confiait dernièrement qu'elle était l'une des rares à penser peut-être trouver un époux dans sa Sibérie natale : toutes ses amies diplômées avaient fait le choix de trouver un mari étranger. La raison : "Avec un peu de chance, il sera cultivé, ne boira pas, aidera à la maison, et sera présent auprès des enfants".
Le servage, le manque d'éducation avant 1917, et le communisme n'ont pas réellement permis aux hommes de se faire leur place face à des femmes de plus en plus diplômées qui, malgré tout, recherchent toujours chez l'homme une sorte de primat matériel et intellectuel qu'ils n'ont plus.
Le véritable féminisme des débuts consistait simplement à vouloir des droits civiques identiques, ce qui était quand même plus que louable. Certaines féministes ont sans doute un discours pervers mais ce discours vient malheureusement de siècles de subordination et de discours tout aussi pervers sur la supériorité masculine.
Fraternellement.
Cécile
Une amiie russe me confiait dernièrement qu'elle était l'une des rares à penser peut-être trouver un époux dans sa Sibérie natale : toutes ses amies diplômées avaient fait le choix de trouver un mari étranger. La raison : "Avec un peu de chance, il sera cultivé, ne boira pas, aidera à la maison, et sera présent auprès des enfants".
Le servage, le manque d'éducation avant 1917, et le communisme n'ont pas réellement permis aux hommes de se faire leur place face à des femmes de plus en plus diplômées qui, malgré tout, recherchent toujours chez l'homme une sorte de primat matériel et intellectuel qu'ils n'ont plus.
Le véritable féminisme des débuts consistait simplement à vouloir des droits civiques identiques, ce qui était quand même plus que louable. Certaines féministes ont sans doute un discours pervers mais ce discours vient malheureusement de siècles de subordination et de discours tout aussi pervers sur la supériorité masculine.
Fraternellement.
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Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
Effectivement Raistlin a raison ce n'est pas cela le féminisme.
Quant a traiter de bonniches celles qui se dévouent corps et âme pour élever leurs enfants et s'occuper de leur foyer, je trouve que c'est la pire insulte qui puisse se recevoir.
Quant a traiter de bonniches celles qui se dévouent corps et âme pour élever leurs enfants et s'occuper de leur foyer, je trouve que c'est la pire insulte qui puisse se recevoir.
Pax et Bonum !
"Deus meus et Omnia"
"Prêchez l'Évangile en tout temps et utilisez des mots quand cela est nécessaire"
St François d'Assise
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Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
Vous savez JustineF avoir des enfants et servir de bonniche n'est pas donnée à tout le monde, et les bonniches qui ont des enfants bossent dur souvent plus dur que celles qui selon vos termes "ont dû se tromper de vocation"..;Notons au passage, qu'une femme est censée avoir des enfants. Cela semble être son unique rôle à part celui de bonniche. Tant pis pour toutes celles qui bossent dur, elles ont dû se tromper de vocation à cause de la propagande féministe.
Maintenant si vous voulez vraiment coller à la réalité d'une femme mère au foyer, ce n'est plus tellement boniche qui s'applique mais plutôt Gestionnaire d'entreprise familiale à intérêt universel. Cela demande une polyvalence extraordinaire,, une intelligence humaine remarquable et une foi une espérance quasi surnaturelle... et Merci Seigneur de nous avoir donnée une patience à toute épreuve et quand nous vous lisons, il en faut....
Nad
"Reste avec nous, car le soir vient et déjà le jour baisse". Et Il resta avec eux. Luc 24, 29
« La parole de Dieu est première dans la mission, non seulement elle est antérieure au sacrement, mais il nous faut croire qu'elle est antérieure à l'annonce proprement dite faite par le disciple qui lui-même est d'ordre sacramentel. » p Christian de Chergé
« La parole de Dieu est première dans la mission, non seulement elle est antérieure au sacrement, mais il nous faut croire qu'elle est antérieure à l'annonce proprement dite faite par le disciple qui lui-même est d'ordre sacramentel. » p Christian de Chergé
Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
Les prétendants de la cause "féministe" ont sans doute accentué les tendances sexistes ces dernières années. A force de considérer la femme comme un vulgaire boue de chair juste destiné au plaisir des yeux et des sens, le machisme primaire a pu s'alimenter à notre détriment. Voici l'effet pervers d'une considération perverse et limitée de la Femme.Effectivement Raistlin a raison ce n'est pas cela le féminisme.
A l'heure actuelle, grâce à nos chères et chers "féministes" ( personnes qui ont souvent le dégoût d'elles même, de la femme en général, de son genre), la Femme est assimilée à un objet de consommation à longueur de journée. L'insulte étant désormais quasiment associée à un compliment. On le voit avec les "Femen", ces jeunes femmes haineuses de leur propre sexe. Avoir les seins dénudées, se livrer en pâture aux yeux des hommes passe pour un acte libérateur et progressiste. Super! Avilissons les femmes, voici le mot d'ordre du " féminisme".Quant a traiter de bonniches celles qui se dévouent corps et âme pour élever leurs enfants et s'occuper de leur foyer, je trouve que c'est la pire insulte qui puisse se recevoir.
La dignité de la Femme et l'intégrité de son corps subissent de réelles atteintes, un profond mépris.
Prouve que tu existes. Résiste !
Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
Renseignez-vous, les féministes dénoncent justement la marchandisation, l'objectification du corps de la femme et la "culture du viol" qui est pointée du doigt comme l'un des leviers de pouvoir du patriarcat. Vous ne pourriez pas être davantage hors-sujet. On sent que vous êtes loin de votre domaine de compétence.Les prétendants de la cause "féministe" ont sans doute accentué les tendances sexistes ces dernières années. A force de considérer la femme comme un vulgaire boue de chair juste destiné au plaisir des yeux et des sens, le machisme primaire a pu s'alimenter à notre détriment. Voici l'effet pervers d'une considération perverse et limitée de la Femme.
Les Femen ne sont pas représentatives du féminisme, ni dans leurs méthodes ni dans le discours très creux. Pour autant, il me paraît exagéré de leur envoyer les spadassins du GUD ou de Civitas pour les frapper.On le voit avec les "Femen", ces jeunes femmes haineuses de leur propre sexe. Avoir les seins dénudées, se livrer en pâture aux yeux des hommes passe pour un acte libérateur et progressiste. Super! Avilissons les femmes, voici le mot d'ordre du " féminisme".
A n'en pas douter... Ce doit être pour cela qu'on voit des femmes au gouvernement ou à des postes de responsabilités dans le secteur privé plutôt qu'à la maison à s'occuper docilement de la marmaille. Les féministes n'apportent décidément rien de bon: le boulot, c'est pour les hommes!Les prétendants de la cause "féministe" ont sans doute accentué les tendances sexistes ces dernières années.
Re: Le patriarche russe Kirill juge le féminisme «très dange
Élever correctement des enfants aujourd'hui est une tâche extrêmement difficile, et qui nécessite d'être autre chose qu'une bonniche. Par analogie avec le diplôme d'institutrice, un gouvernement rationnel devrait interdire aux femmes qui ne sont pas Bac+5 d'avoir des enfants .....JustineF a écrit : Notons au passage, qu'une femme est censée avoir des enfants. Cela semble être son unique rôle à part celui de bonniche. Tant pis pour toutes celles qui bossent dur, elles ont dû se tromper de vocation à cause de la propagande féministe.
Moyennant quoi, à cause des accidents de la vie et du manque de fiabilité de la gente masculine , il est souhaitable que les femmes soient (même potentiellement) économiquement indépendantes.
Il faut concilier les deux, ce qui n'est pas simple.
Se croire soi-même imparfait et trouver les autres parfaits, voilà le bonheur. (Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus)
Ce qui attire le plus de grâces du bon Dieu, c'est la reconnaissance, car si nous le remercions d'un bienfait, il est touché et s'empresse de nous en faire dix autres et si nous le remercions encore avec la même effusion, quelle multiplication incalculable de grâces ! (idem)
Ce qui attire le plus de grâces du bon Dieu, c'est la reconnaissance, car si nous le remercions d'un bienfait, il est touché et s'empresse de nous en faire dix autres et si nous le remercions encore avec la même effusion, quelle multiplication incalculable de grâces ! (idem)
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