La foi libère
Voici l'aube du troisième millénaire,
Tant et tant de temps ont passés sur cette terre
Née d'un Dieu bon qui y a mis tout son amour
Son art et tant de merveilles aux alentours.
Planète toujours belle et rayonnante
Abritant une humanité malheureuse
Épuisée, éreintée, pressurée, fiévreuse,
Esclave de ces petites pièces brillantes.
Le voilà, le chef d’oeuvre de la création,
Idolâtrant une pauvre matière morte
Devenue l'unique chose qui lui importe,
Lui donnant tout son coeur, avec abnégation
Et un oubli complet de sa dignité
Qu'il ne songe même plus à retrouver.
Homme, qui a été perdu par le mensonge,
Ouvre les yeux, vois le mal qui te ronge
Et apprend, égaré, que tu seras libre
Quand tu connaîtras ta place sur la terre
Et que ton âme sera en équilibre.
Alors la vie te deviendra hospitalière,
Tu sauras te réjouir et aussi contempler,
Délivré de la soif de posséder
Et, à toutes choses tu seras familier
T'unissant à elle par un lien de charité.
Ce bonheur, ami, il est est à ta portée,
Dieu lui-même tenant à nous l'apporter.
Pessimisme
La voici venue, l'insomnie,
Compagne fidèle de la nuit
Marchant avec moi dans les rues
Pendant des heures ; des heures indues.
Errance voulue et appréciée.
Ayant un goût poétique,
Étant une tentation mystique,
Seul moyen de se rebeller
Contre le monde immonde
Où le bourgeois est devenu roi,
Règne du prosaïsme étroit
Où l'imbécilité abonde.
Sans aucun moyen d'échapper
A ce cauchemar des plus plat
Il ne reste qu'à se résigner
D’attendre que sonne le glas.
Voici l'aube du troisième millénaire,
Tant et tant de temps ont passés sur cette terre
Née d'un Dieu bon qui y a mis tout son amour
Son art et tant de merveilles aux alentours.
Planète toujours belle et rayonnante
Abritant une humanité malheureuse
Épuisée, éreintée, pressurée, fiévreuse,
Esclave de ces petites pièces brillantes.
Le voilà, le chef d’oeuvre de la création,
Idolâtrant une pauvre matière morte
Devenue l'unique chose qui lui importe,
Lui donnant tout son coeur, avec abnégation
Et un oubli complet de sa dignité
Qu'il ne songe même plus à retrouver.
Homme, qui a été perdu par le mensonge,
Ouvre les yeux, vois le mal qui te ronge
Et apprend, égaré, que tu seras libre
Quand tu connaîtras ta place sur la terre
Et que ton âme sera en équilibre.
Alors la vie te deviendra hospitalière,
Tu sauras te réjouir et aussi contempler,
Délivré de la soif de posséder
Et, à toutes choses tu seras familier
T'unissant à elle par un lien de charité.
Ce bonheur, ami, il est est à ta portée,
Dieu lui-même tenant à nous l'apporter.
Pessimisme
La voici venue, l'insomnie,
Compagne fidèle de la nuit
Marchant avec moi dans les rues
Pendant des heures ; des heures indues.
Errance voulue et appréciée.
Ayant un goût poétique,
Étant une tentation mystique,
Seul moyen de se rebeller
Contre le monde immonde
Où le bourgeois est devenu roi,
Règne du prosaïsme étroit
Où l'imbécilité abonde.
Sans aucun moyen d'échapper
A ce cauchemar des plus plat
Il ne reste qu'à se résigner
D’attendre que sonne le glas.