Omnivorisme ou cannibalisme

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Paly
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Omnivorisme ou cannibalisme

Message non lu par Paly » mer. 27 mai 2009, 12:21

Texte tiré de A.V.I.S.

Très intéressant, qui porte à réfelxion et nous aide à évoluer dans nos pratiques..



"CANNIBALISME ET CONSOMMATION DE VIANDE ANIMALE

La comparaison des explications tenues pour justifier la consommation de viande animale et les raisons avancées qui ont soutenu le cannibalisme, permet de remarquer des similitudes troublantes.

Deux textes sur les pratiques cannibales sont assez édifiants. Le premier expose le cannibalisme pratiqué par des peuplades et admis culturellement par ces sociétés. Le deuxième est un fait divers récent.

1) Extraits de " l'entraide, un facteur de l'évolution ", livre écrit par P.Kropotkine en 1897 :

A propos des tribus d'Australie " Quant à leur moralité, nous ne pouvons mieux faire que de résumer les réponses suivantes, faites aux questions de la Société Anthropologique de Paris par Lumholtz, missionnaire qui séjourna dans le Nord du Queensland : les sentiments d'amitié existent chez eux à un haut degré. Ils subviennent d'ordinaire aux besoins des plus faibles ; les malades sont soignés attentivement et ne sont jamais abandonnés ni tués. Ces peuplades sont cannibales, mais elles ne mangent que très rarement des membres de leur propre tribu (ceux qui sont immolés par principe religieux, je suppose) ; ils mangent seulement les étrangers. ". A propos des Papous " Ils ont soins des malades et des vieillards ; les vieillards ne sont jamais abandonnés, et en aucun cas ne sont tués – à moins qu'il ne s'agisse d'un esclave déjà malade depuis longtemps. Les prisonniers de guerre sont parfois mangés. Les enfants sont très choyés et aimés. Les prisonniers de guerre vieux et faibles sont tués, les autres sont vendus comme esclaves. ". A propos du cannibalisme " Si nous tenons compte des faits qui ont été mis en lumière pendant une récente discussion sur ce sujet à la Société Anthropologique de Paris, ainsi que les remarques accessoires disséminées dans les ouvrages qui traitent des sauvages, nous sommes obligés de reconnaître que cette habitude, aussi, doit son origine à la pression de la nécessité. Plus tard elle fut développée par la superstition et la religion, jusqu'aux proportions affreuses qu'elle a atteint aux îles Fidji et au Mexique. Il est établi, jusqu'à ce jour, que les sauvages se voient parfois réduits à dévorer des cadavres dans un état de putréfaction très avancé et qu'en cas d'absolue disette certains ont dû déterrer des cadavres humains pour se nourrir, même en temps d'épidémie. Ce sont là des faits vérifiés. Mais si nous nous reportons aux conditions que l'humain eut à affronter durant la période glaciaire, dans un climat froid et humide, n'ayant que très peu de nourriture végétale à sa disposition ; si nous tenons compte des terribles ravages que le scorbut fait encore parmi les primitifs insuffisamment nourris ; et si nous nous souvenons que la chair fraîche et le sang sont les seuls reconstituants qu'ils connaissent, il nous faut admettre que l'humain, qui fut d'abord un animal granivore, devint un carnivore durant la période glacière. Il trouvait des rennes en quantité à cette époque, mais les rennes émigrent souvent dans les régions arctiques, et quelquefois ils abandonnent entièrement un territoire pour plusieurs années. En ce cas les dernières ressources de l'humain disparaissaient. Dans d'aussi terribles épreuves, des Européens eux-mêmes ont eu recours au cannibalisme : c'est ce qu'on fait les sauvages. Jusqu'à l'époque actuelle, ils dévorent parfois les cadavres de leurs propres morts : ils ont dû alors dévorer les cadavres de ceux qui allaient mourir. Des vieillards moururent, convaincus que par leur mort ils rendaient un dernier service à la tribu. C'est pourquoi le cannibalisme est représenté par certains sauvages comme ayant une origine divine, comme quelque chose ordonné par un message du ciel. Mais plus tard le cannibalisme perdit son caractère de nécessité et survécut en tant que superstition. On mangea ses ennemis pour hériter de leur courage. A une époque encore postérieure, on mangeait, dans le même but, l'œil ou le cœur de l'ennemi, tandis que parmi d'autres peuplades ayant de nombreux prêtres et une mythologie développée, des dieux méchants, altérés de sang humain, furent inventés et des sacrifices humains furent demandés par les prêtres pour apaiser les dieux. Dans cette phase religieuse de son existence, le cannibalisme atteignit ses caractères les plus révoltants. Le Mexique en est un exemple bien connu ; et aux îles Fidji, où le roi pouvait manger n'importe lequel de ses sujets, nous trouvons aussi une caste puissante de prêtres, une théologie compliquée et un développement complet de l'autocratie. Le cannibalisme, né de la nécessité, devint ainsi, à une époque postérieure, une institution religieuse, et sous cette forme, il survécut longtemps après qu'il eut disparu chez des tribus qui l'avaient certainement pratiqué à des époques précédentes, mais qui n'avaient pas atteint la phase théocratique de l'évolution. "

Il ressort de ces études que comme pour la consommation de viande animale, le cannibalisme est pratiqué en prenant comme victime " l'étranger ", celui qui sera différent de nous, qui n'aura pas la même forme de corps et couleur, qui ne fait pas parti de la communauté, ou celui qui a été vaincu, qui est considéré comme un esclave. Les animaux sont mangés par beaucoup d'humains car ils sont différents d'aspect des humains. L'humain considère qu'il les domine et que les animaux ne font pas parti de sa communauté. La consommation de viande est toujours un acte de domination sur l'autre, on enlève le droit d'exister à la victime pour assouvir ce qu'on considère comme son intérêt.

Il est donné des vertus extraordinaires à la viande : rendre plus fort, plus performant en s'appropriant les capacités de la victime. Comme actuellement les personnes qui croient qu'en mangeant et en faisant manger de la cervelle à leur enfant, ils deviendront plus intelligents, ou qu'en mangeant du bœuf ils deviendront plus forts, etc.. Ces croyances ne se basent sur aucune expérience scientifique comparative, qui déterminerait qu'un végétalien aurait moins de force, moins d'intelligence, etc. qu'un omnivore. Ces croyances ne sont que du mysticisme. Un aliment, qu'il soit végétal ou animal (humain compris) fournit des molécules semblables. Un acide aminé apportera la même énergie, quel qu'en soit son origine.

La consommation de viande animale est aussi une religion : elle a ses prêtres - une partie du milieu médical - qui prétendent, malgré l'évidence, que la consommation de viande est vitale. Elle a sa théologie, qui prétend que les animaux sont inférieurs à l'humain (ce qui " permet " qu'ils soient mangés) et que dieu les à mis sur terre pour que nous les mangions. Elle a ses adeptes qui en bonne conscience, et sans être des monstres car ils peuvent, par ailleurs, se montrer solidaire envers des êtres qu'on leur a appris à respecter (leurs enfants, des humains en difficultés), perpétuent la croyance sans se poser de questions.

Il est facile de voir ce qui ne va pas dans la culture de peuplades dont nous ne faisons pas partie. Il est moins aisé de savoir prendre du recul par rapport aux pratiques de sa propre société. On peut très bien accomplir les pires horreurs sans la moindre sensation de faire un acte barbare, sans chercher à être méchant et on peut être, par ailleurs, quelqu'un d'aimable, attentionné sur d'autres points. Notre milieu de vie conditionne beaucoup nos sensations et nos idées.

On peut aussi apprendre que l'humain était granivore à l'origine et nullement omnivore.

2) Article paru dans le journal " La Dépêche " le 30 juin 1989 : " L'horreur… Steak… tartare. Les amis d'Alexei Soukletine conserveront longtemps un goût amer dans la bouche : eux qui aimaient tant fréquenter sa table pour la bonne viande qu'il y servait ont appris l'année dernière qu'ils consommaient, en fait, de tendres jeunes filles. Ce cas extraordinaire de cannibalisme s'est déroulé en 1987 et en 1988 en Tartarie (centre de la Russie). Soukletine a avoué l'assassinat de sept jeunes filles dont la plus jeune avait seulement 11 ans, rapporte le dernier numéro du magasine soviétique " Smena " (" La Relève " ). Dans un article destiné à défendre le maintien de la peine de mort en U.R.S.S., l'auteur dévoile, pour la première fois, cette affaire dont la presse n'avait jamais parlé. Cet homme d'une quarantaine d'année vivait avec une jeune femme de 25 ans, Madina Chakirova qui participait à ses crimes. Il violait ses victimes qu'il avait entraîné chez lui, les tuait à coups de couteau puis les découpait avant d'en enterrer une partie et de consommer le reste. Il lui est même arrivé de vendre cette viande à bas prix à des connaissances pour préparer des chachliks. Soukletine s'est lui-même découvert en se vantant de manger de la chair humaine lors d'une soirée de beuverie. La rumeur est finalement parvenue à la milice qui ne voulait pas y croire, mais une enquête et une perquisition chez lui ont immédiatement établi la terrible évidence. Soukletine a été jugé l'année dernière, condamné et fusillé, Madina Chakirova et un autre complice ont été condamnés à quinze ans de prison. ".

Cet article, une fois de plus, démontre que la consommation de viande est un acte de domination, au même titre que le viol ou le sexisme. La victime peut être maltraitée, tuée et mangée car elle est considérée comme plus faible ou inférieure. Sa vie est purement et simplement niée. Celui qui commet cet acte se sent plus fort. Il retire un sentiment de puissance à manger de la viande (au point de s'en vanter) ou à maltraiter quelqu'un.

De plus on voit bien que la viande humaine n'a pas de différence avec la viande des autres animaux au niveau du goût et de l'aspect. La différence n'est que culturelle : si les gens croient manger de la viande d'un animal non-humain, ils vont saliver, avoir une sensation d'appétit, de bonne odeur et ils prétendront prendre beaucoup de plaisir à en manger. Par contre, s'ils apprennent que c'était de la viande humaine, ils auront envie de vomir et seront peut-être traumatisés d'avoir pu manger cette viande, de l'avoir eu dans leur assiette, porté à leur bouche et d'avoir mâché des morceaux d'un humain en y prenant plaisir. C'est aussi comme ces humains qui veulent continuer à consommer de la viande animale, en faisant tous les efforts qu'ils peuvent pour ne pas penser aux horreurs que représente, pour les animaux, l'assouvissement de leur petit plaisir personnel. Beaucoup arrêterait d'en manger si on leur faisait visiter des abattoirs ou s'ils devaient tuer eux-mêmes les animaux qu'ils mangent sans aucune nécessité.

La consommation de viande se perpétue dans une logique identique à celle du cannibalisme, et dans quelques siècles, il est probable que cette pratique sera considérée avec autant d'horreur que l'est actuellement le cannibalisme."

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Raistlin
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Re: Omnivorisme ou cannibalisme

Message non lu par Raistlin » mer. 27 mai 2009, 16:39

Bonjour Paly, :)

J'avoue avoir trouvé votre post un peu étrange. Une fois la surprise passée, je n'ai pu m'empêcher de noter ce qui me semblait être quelques "incohérences".

Paly a écrit :Il ressort de ces études que comme pour la consommation de viande animale, le cannibalisme est pratiqué en prenant comme victime " l'étranger ", celui qui sera différent de nous, qui n'aura pas la même forme de corps et couleur, qui ne fait pas parti de la communauté, ou celui qui a été vaincu, qui est considéré comme un esclave. Les animaux sont mangés par beaucoup d'humains car ils sont différents d'aspect des humains. L'humain considère qu'il les domine et que les animaux ne font pas parti de sa communauté. La consommation de viande est toujours un acte de domination sur l'autre, on enlève le droit d'exister à la victime pour assouvir ce qu'on considère comme son intérêt.
Je ne vois pas le lien entre carnivorisme et domination. Si l'Homme est carnivore, il me semble que c'est avant tout parce qu'il y trouve de quoi nourrir son corps.

Quant au "droit" des animaux à exister... hé bien, par définition, les animaux n'ont que les droits que nous les humains nous leur donnons puisque la notion de droit est purement humaine ! Les animaux n'ont aucun droit en eux-mêmes : aller expliquer à un lion que la gazelle a le droit de vivre, pour voir !

Paly a écrit :Il est donné des vertus extraordinaires à la viande : rendre plus fort, plus performant en s'appropriant les capacités de la victime. Comme actuellement les personnes qui croient qu'en mangeant et en faisant manger de la cervelle à leur enfant, ils deviendront plus intelligents, ou qu'en mangeant du bœuf ils deviendront plus forts, etc.. Ces croyances ne se basent sur aucune expérience scientifique comparative, qui déterminerait qu'un végétalien aurait moins de force, moins d'intelligence, etc. qu'un omnivore. Ces croyances ne sont que du mysticisme. Un aliment, qu'il soit végétal ou animal (humain compris) fournit des molécules semblables. Un acide aminé apportera la même énergie, quel qu'en soit son origine.
De fait, la viande et le poisson sont excellents pour la santé. C'est scientifiquement admis (même si les excès peuvent être nuisibles, mais comme beaucoup de choses en ce monde).

A l'inverse, il semble beaucoup plus difficile d'être végétalien... Notamment parce que les protéines - pour ne parler que d'elles - sont disponibles en bien moins grandes quantités chez les végétaux que chez les animaux. Il n'est donc pas impossible d'être végétalien, mais je n'ai encore jamais entendu un médecin le recommander pour la santé.

Paly a écrit :La consommation de viande animale est aussi une religion : elle a ses prêtres - une partie du milieu médical - qui prétendent, malgré l'évidence, que la consommation de viande est vitale. Elle a sa théologie, qui prétend que les animaux sont inférieurs à l'humain (ce qui " permet " qu'ils soient mangés) et que dieu les à mis sur terre pour que nous les mangions. Elle a ses adeptes qui en bonne conscience, et sans être des monstres car ils peuvent, par ailleurs, se montrer solidaire envers des êtres qu'on leur a appris à respecter (leurs enfants, des humains en difficultés), perpétuent la croyance sans se poser de questions.
Il ne s'agit pas de savoir si la viande ou le poisson sont vitaux pour nous, il s'agit de savoir si ils sont bons pour notre santé et notre croissance... ce qui est un fait expérimental validé par des dizaines de milliers d'années d'existence de l'espèce humaine.

Sinon, j'avoue ne pas trop aimer le parallèle que vous semblez faire entre le respect de la vie humaine et celui de la vie animale. Ce sont deux mondes différents et il est évident qu'une vie animale a bien moins de valeur qu'une vie humaine (ce qui ne veut pas dire qu'on peut faire n'importe quoi avec les animaux, par exemple l'élevage de masse dans des conditions inadmissibles). Qui irait dire que la vie de son enfant vaut autant que celle du premier ver de terre venu ?

Je suis d'accord pour dire qu'il ne faut pas être cruel avec les animaux et qu'il faut respecter la vie animale dans on ensemble, mais il y a quand même des limites à ne pas franchir : à choisir entre sauver une vie humaine et celle d'un chien, je n'hésite pas une seule seconde.

Ai-je le droit de tuer un animal pour survivre ? Hmm, oui bien sûr ! Et pour une simple et bonne raison : la nature est ainsi faite... Le carnivorisme n'est pas une bizarrerie de la nature, phénomène ponctuel et inhabituel : c'est la règle, la norme de nombreuses espèces, dont la notre. Ou alors il faudrait prouver que l'Homme ne fut pas destiné à manger de la viande... ce qui nous amène au point suivant. ;)

Paly a écrit :On peut aussi apprendre que l'humain était granivore à l'origine et nullement omnivore.
Là, c'est intéressant. Surtout parce que la Bible dit la même chose même si j'ai toujours trouvé que ça ne s'appliquait plus à nous (ou alors que c'était un passage purement symbolique).

Bref, quoiqu'il en soit, pourriez-vous nous donner la preuve scientifique de ce que vous avancez ?

Paly a écrit :Cet article, une fois de plus, démontre que la consommation de viande est un acte de domination, au même titre que le viol ou le sexisme. La victime peut être maltraitée, tuée et mangée car elle est considérée comme plus faible ou inférieure. Sa vie est purement et simplement niée. Celui qui commet cet acte se sent plus fort. Il retire un sentiment de puissance à manger de la viande (au point de s'en vanter) ou à maltraiter quelqu'un.
Non, cet article ne prouve qu'une chose : la folie qui atteint parfois certains membres de l'espèce humaine.

Pour ce qui est de la domination, il ne me paraît pas très sérieux de dire que tous ceux qui mangent de la viande ou du poisson expriment un secret désir de domination...

Je ne sais pas si vous vous en rendez compte, mais vous prenez le comportement d'un déséquilibré que vous généralisez à l'espèce humaine. Méthodologiquement parlant, ça ne tient pas.

Paly a écrit :La différence n'est que culturelle : si les gens croient manger de la viande d'un animal non-humain, ils vont saliver, avoir une sensation d'appétit, de bonne odeur et ils prétendront prendre beaucoup de plaisir à en manger.
La différence est surtout morale : un être humain n'est pas animal.

Paly a écrit :La consommation de viande se perpétue dans une logique identique à celle du cannibalisme, et dans quelques siècles, il est probable que cette pratique sera considérée avec autant d'horreur que l'est actuellement le cannibalisme.
Théorie qui me paraît illogique. Il n'y eut aucun moment dans l'histoire humaine où le cannibalisme fut généralisé. En revanche, la consommation de viande, si.

Ainsi, comparer la disparition du cannibalisme à celle présumée du carnivorisme n'a aucun sens. Car si le cannibalisme est un phénomène restreint, relativement peu répandu dans l'histoire humaine, et surtout issu de phénomènes religieux ou culturels douteux, il n'en va pas de même avec le carnivorisme qui est universel : quel peuple s'est jamais abstenu complètement de viande ou de poisson ? Aucun à ma connaissance.

Si le cannibalisme relève bel et bien d'un désordre (qu'il soit psychologique ou culturel), le carnivorisme semble naturel. Le cannibalisme a toujours provoqué de l'horreur chez les autres. Le carnivorisme, jamais.


J'aimerais finir en disant que je n'ai rien contre les végétaliens. Cependant, il ne me semble pas très raisonnable de vouloir légitimer ce qui n'est qu'une préférence alimentaire (qu'elle soit motivée par le goût ou par une idéologie) par des considérations philosophiques et/ou scientifiques qui ne me semblent pas très solides. :oops:

Cordialement,
« Dieu fournit le vent. A l'homme de hisser la voile. » (Saint Augustin)

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ti'hamo
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Re: Omnivorisme ou cannibalisme

Message non lu par ti'hamo » ven. 14 août 2009, 7:01

"Les animaux sont mangés par beaucoup d'humains car ils sont différents d'aspect des humains."
Contrairement aux végétaux, donc... :siffle:
“Il serait présomptueux de penser que ce que l'on sait soi-même n'est pas accessible à la majorité des autres hommes.”
[Konrad Lorenz]

Celui qui connaît vraiment les animaux est par là même capable de comprendre pleinement le caractère unique de l'homme.
[Konrad Lorenz]
Extrait de L'Agression

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