Merci de votre réponse, cher Libremax.
Considérons la description suivante :
Dans la description ci-dessus, s’agit-il d'une famille élargieMt 2, 21 Joseph se leva, prit l’enfant et sa mère, et il entra dans le pays d’Israël.
Merci de votre réponse, cher Libremax.
Considérons la description suivante :
Dans la description ci-dessus, s’agit-il d'une famille élargieMt 2, 21 Joseph se leva, prit l’enfant et sa mère, et il entra dans le pays d’Israël.
Merci de votre réponse, cher Libremax.
De combien de personnes s'agit-il dans la description ci-dessusMt 2, 21 Joseph se leva, prit l’enfant et sa mère, et il entra dans le pays d’Israël.
Cela me va droit au cœur, merci cher Carolus.Carolus a écrit : ↑jeu. 11 juin 2020, 20:38Heureusement, vous avez un niveau extrêmement poussé en sincérité. MERCIFernand Poisson a écrit : ↑jeu. 11 juin 2020, 17:50Fernand Poisson :
Malheureusement je n'ai pas un niveau suffisamment poussé en araméen pour vous répondre avec précision.
Tout à fait cher Carolus, sans doute en référence à Lc, 1, 36 : "Elisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils".Carolus a écrit : ↑jeu. 11 juin 2020, 20:38Considérons ceci :
LES MYSTÈRES DU SAINT ROSAIRE
2e Mystère Joyeux: Visite de la Vierge Marie à sa cousine Élisabeth.
http://www.vatican.va/special/rosary/do ... r.html#top
Le 2e Mystère Joyeux: Visite de la Vierge Marie à sa cousine Élisabeth emploie le terme “cousine”, n’est-ce pas ?
Peut-être cher Carolus, si du moins on se réfère à la Peshitta (qui est elle-même une traduction du grec).Carolus a écrit : ↑jeu. 11 juin 2020, 20:38Lc 1, 36 Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile.
C’est le terme araméen ܐܚܝܢܬܟܝ (ˀaḥyānā, ˀaḥyāntā) n.f. = parente qui est traduit par “cousine”, d’après le lien ci-dessus, n’est-ce pas ?
Volontiers, cher Libremax.
S’agit-il de la mère de Joseph
« Joseph […] prit l’enfant et sa mère » (Mt 2, 21), n’est-ce pas ?Mt 2, 21 Joseph se leva, prit l’enfant et sa mère, et il entra dans le pays d’Israël.
Nous sommes d’accord, cher Fernand Poisson.Fernand Poisson a écrit : ↑ven. 12 juin 2020, 16:32Fernand Poisson :Tout à fait cher Carolus, sans doute en référence à Lc, 1, 36 : "Elisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils".
Merci de considérer la Peshitta, c’est-à-dire la version araméenne du texte, cher Fernand Poisson.Fernand Poisson a écrit : ↑ven. 12 juin 2020, 16:32Fernand Poisson :Peut-être cher Carolus, si du moins on se réfère à la Peshitta (qui est elle-même une traduction du grec).Carolus a écrit : ↑jeu. 11 juin 2020, 20:38Carolus :
Lc 1, 36 Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile.
C’est le terme araméen ܐܚܝܢܬܟܝ (ˀaḥyānā, ˀaḥyāntā) n.f. = parente qui est traduit par “cousine”, d’après le lien ci-dessus, n’est-ce pas ?
Pas exactement, cher Fernand Poisson.Fernand Poisson a écrit : ↑ven. 12 juin 2020, 16:32Fernand Poisson :
Mais si je ne m'abuse le terme araméen ܐܚܝܢܬܟܝ n'est qu'une forme alternative de ܚܬܐ, c'est-à-dire du féminin de ܐܚܐ.
Source : https://en.wiktionary.org/wiki/%DC%9A%D ... cal_Syriac
Élisabeth ne peut pas être une « personne qui a un père et/ou une mère en commun » avec Marie.Le terme araméen ܐܚܝܢܬܟܝ correspond au terme grec συγγενίς (syngenis) = parente, cousine.
Le terme araméen ܚܬܐ correspond au terme grec ἀδελφή (adelphé) = sœur.
Merci de cette remarque, cher Carolus.
Je vous en prie, cher Fernand Poisson.Fernand Poisson a écrit : ↑lun. 15 juin 2020, 11:19Fernand Poisson :Merci de cette remarque, cher Carolus.
D’après vous, Élisabeth n’est donc pas issue de mêmes grands-parents que Marie, n’est-ce pas ?Fernand Poisson a écrit : ↑lun. 15 juin 2020, 11:19Fernand Poisson :
Le terme grec συγγενίς désigne en Lc 1, 36 une parente éloignée et non une cousine germaine.
C'est pourquoi il est traduit par l'araméen ܐܚܝܢܬܟܝ.
Le terme grec ἀνεψιός (anepsios) désigne « Marc, le cousin de Barnabé », n’est-ce pas ?Col 4, 10 Vous avez les salutations d’Aristarque, mon compagnon de captivité, et celles de Marc, le cousin de Barnabé
Je ne sais pas, cher Carolus. En toute rigueur ce n'est pas impossible, puisque συγγενίς peut désigner aussi bien une parentèle rapprochée qu'éloignée. Sauf erreur de ma part.
Absolument, cher Carolus.Carolus a écrit : ↑lun. 15 juin 2020, 14:23Col 4, 10 Vous avez les salutations d’Aristarque, mon compagnon de captivité, et celles de Marc, le cousin de Barnabé
Le terme grec ἀνεψιός (anepsios) désigne « Marc, le cousin de Barnabé », n’est-ce pas ?
Marc ne peut pas être une « personne qui a un père et/ou une mère en commun » avec Barnabé, n’est-ce pas ?
Merci de votre réponse, cher Fernand Poisson.
Les cousins germains ne font-ils pas partie de la parentèle rapprochéeFernand Poisson a écrit : ↑mar. 16 juin 2020, 18:34Fernand Poisson :
[…] En toute rigueur ce n'est pas impossible, puisque συγγενίς peut désigner aussi bien une parentèle rapprochée qu'éloignée. Sauf erreur de ma part.
Les cousins germains ont un grand-père et une grand-mère en commun, n’est-ce pasFernand Poisson a écrit : ↑lun. 15 juin 2020, 11:19Fernand Poisson :
Le terme grec συγγενίς désigne en Lc 1, 36 une parente éloignée et non une cousine germaine.
Merci de votre réponse logique, cher Fernand Poisson.
Je vous remercie également de votre question, cher Fernand Poisson.Fernand Poisson a écrit : ↑mar. 16 juin 2020, 23:56Fernand Poisson :
[…] mais où voulez-vous en venir !?
D’après vous, le « terme grec συγγενίς désigne en Lc 1, 36 une parente éloignée et non une cousine germaine ».Fernand Poisson a écrit : ↑lun. 15 juin 2020, 11:19Fernand Poisson :
Le terme grec συγγενίς désigne en Lc 1, 36 une parente éloignée et non une cousine germaine.
D’après vous, Élisabeth est donc « une parente éloignée et non une cousine germaine » de Marie, n’est-ce pasLc 1, 36 Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente [συγγενίς ], a conçu, elle aussi …
Pas exactement, cher Carolus, j'ai été trop catégorique.
Merci de votre réponse, cher Fernand Poisson.Fernand Poisson a écrit : ↑mer. 17 juin 2020, 11:20Fernand Poisson :Pas exactement, cher Carolus, j'ai été trop catégorique.
Je suis d’accord. Le terme grec « συγγενίς peut désigner aussi bien une parentèle rapprochée qu'éloignée » (Fernand Poisson).Fernand Poisson a écrit : ↑mer. 17 juin 2020, 11:20Fernand Poisson :
Sauf erreur de ma part, le terme συγγενίς implique qu'Elisabeth peut être une cousine éloignée de la Sainte Vierge mais il n'exclut pas qu'elle soit sa cousine germaine.
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