L'Église fête l'Assomption à Lourdes, J-P II, séminaristes, etc.
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Forum de discussions entre chrétiens sur les questions ecclésiales
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- Christophe
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[align=justify]Merci à vous, bien-aimé Saint-Père, pour votre inoubliable pontificat.
Tous les fils de l'Eglise sont ce soir partagés entre le soulagement de voir s'achever votre calvaire pour rejoindre le Seigneur et le sentiment de tristesse de nous sentir orphelins.[/align]
[align=center]
[/align]
PS : Désolé Olivier, ton message en doublon a été supprimé par erreur.
Tous les fils de l'Eglise sont ce soir partagés entre le soulagement de voir s'achever votre calvaire pour rejoindre le Seigneur et le sentiment de tristesse de nous sentir orphelins.[/align]
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PS : Désolé Olivier, ton message en doublon a été supprimé par erreur.
« N'ayez pas peur ! » (365 occurrences dans les Écritures)
-
- Ædilis
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- Inscription : jeu. 06 janv. 2005, 22:14
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[align=center]Si vous le permettez, j'aimerais laisser ce dernier paragraphe du chant "vieux pèlerin" en hommage, à Jean-Paul II.[/align]
[align=center]Voici la fin de mes souffrances,
Et le repos pour mon vieux corps.
Voici venir la récompense,
Par Dieu promise à mes efforts.
Je vais là-bas parmi les anges,
En oubliant mes vieux soucis,
Passer mon temps à la louange,
Dire à Jésus sans fin : Merci.[/align]
au revoir Jean-Paul . . .
[align=center]Voici la fin de mes souffrances,
Et le repos pour mon vieux corps.
Voici venir la récompense,
Par Dieu promise à mes efforts.
Je vais là-bas parmi les anges,
En oubliant mes vieux soucis,
Passer mon temps à la louange,
Dire à Jésus sans fin : Merci.[/align]
au revoir Jean-Paul . . .
Jean Paul II a "cessé de souffrir"
Le cardinal colombien Dario Castrillon, considéré comme l'un des successeurs potentiels du pape, a estimé que Jean Paul II décédé samedi au Vatican a "cessé de souffrir".
"Je reçois simplement cette nouvelle dans la foi et avec toute mon affection. Nous implorons la miséricorde de Dieu pour notre cher Père. Que la providence divine n'abandonne pas son église", a déclaré Monseigneur Castrillon, très ému.
Le cardinal, préfet de la Congrégation du clergé, a souligné l'importance de l'héritage laissé par Jean Paul II. "Ceci est un moment de foi. Jean Paul II dans toute sa grandeur laisse à l'histoire un héritage de paix, de sainteté. Il est dans la gloire (de Dieu) et nous allons suivre au sein de l'Eglise catholique le chemin qu'il a tracé", a déclaré Monseigneur Castrillon.
L'archevêque, premier Colombien à être pressenti pour la papauté, est un homme très déterminé, proche de la pensée de Jean Paul II qui a condamné notamment l'influence de la pensée de Marx et Freud sur le monde contemporain.
"Je reçois simplement cette nouvelle dans la foi et avec toute mon affection. Nous implorons la miséricorde de Dieu pour notre cher Père. Que la providence divine n'abandonne pas son église", a déclaré Monseigneur Castrillon, très ému.
Le cardinal, préfet de la Congrégation du clergé, a souligné l'importance de l'héritage laissé par Jean Paul II. "Ceci est un moment de foi. Jean Paul II dans toute sa grandeur laisse à l'histoire un héritage de paix, de sainteté. Il est dans la gloire (de Dieu) et nous allons suivre au sein de l'Eglise catholique le chemin qu'il a tracé", a déclaré Monseigneur Castrillon.
L'archevêque, premier Colombien à être pressenti pour la papauté, est un homme très déterminé, proche de la pensée de Jean Paul II qui a condamné notamment l'influence de la pensée de Marx et Freud sur le monde contemporain.
"France, qu'as-tu fait de ton baptême ?" Jean-Paul II (Le Bourget - 1er juin 1980)
- VexillumRegis
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- Inscription : ven. 21 mai 2004, 22:32
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Je crois que nous sommes tous partagés entre des sentiments d'affliction et des sentiment de joie : tristesse de perdre un si saint serviteur de Dieu, un homme qui a tant fait pour l'Eglise ; joie de savoir qu'il a quitté cette vallée de larmes et de labeurs pour goûter à la béatitude éternelle. La Très Sainte Vierge, pour qui il avait une dévotion si profonde, l'a sans aucun doute introduite auprès du trône du Seigneur, au milieu des choeurs des anges et de tous les saints.
[align=center][/align]
[align=center]Ioannes Paulus PP. II
Karol Wojtyla
16.X.1978
02.IV.2005[/align]
Amen !
- VR -
[align=center][/align]
[align=center]Ioannes Paulus PP. II
Karol Wojtyla
16.X.1978
02.IV.2005[/align]
Amen !
- VR -
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- Sacerdos
- Messages : 70
- Inscription : mer. 04 août 2004, 11:48
- Contact :
[align=center]Les prophètes sont indispensables[/align]
A la rencontre internationale internationale « Hommes et Religions » organisée par la Communauté San’Egidio à Aix-la-Chapelle, Régis Debray, écrivain, philosophe, créateur de l’institut européen en sciences des religions, dont il vient de démissionner en tant que président, a prononcé l’allocution suivante:
Je suis un professeur de philosophie, en dialogue avec les croyants, chargé par le Ministre de l’éducation de diriger le nouvel Institut européen en sciences des religions qui regroupe des historiens, des anthropologues, des philosophes. C'est le centre chargé d'organiser la «formation des formateurs» pédagogues de notre école laïque en dehors de tout esprit confessionnel ou prosélyte, et sans prétendre remplacer la catéchèse. Il s'agit d'un enseignement acceptable par tous, croyants et incroyants, catholiques, protestants, musulmans, agnostiques, attestant notre passage en France, d'une laïcité d'incompréhension à une laïcité d'intelligence.
Qu'attendons-nous de vous - représentants des grands courants spirituels de l'humanité -, nous les laïcs d'Occident ?
Nous vous demandons d'abord de nous réveiller. Nous avons besoin d'ouvrir les yeux sur le monde tel qu'il est : injuste, dangereux, et peu évangélique. Pourquoi ce besoin ? Parce que nous vivons dans la somnolence, nous qui fumons chaque jour l'opium du peuple, j'entends par là, le somnifère médiatique, aux mains de l'argent et de la facilité.
Vous êtes porteurs d'une conception globale, de la personne humaine, de sa dignité et de sa vocation profonde. Et non pas d'intérêts nationaux, étroits ou catégoriels. Votre liberté de parole est incomparable.
Nous avons besoin de prophètes. Le Saint-Père en particulier, a eu des mots, ou des gestes cruciaux - les symboles ont leur efficacité, souterraine et tenace. La visite au Mur des lamentations à Jérusalem, le non à la guerre en Irak, ont eu des effets en profondeur. Le symbolique est orphelin, les paroles de vérité cherchent un asile. Ce ne sera pas l'ONU. Monsieur Kofi Annan a une administration sur les bras. Il doit faire plaisir à tout le monde, le malheureux. Il fait donc de la diplomatie. C'est nécessaire. Mais il y a des moments où ça ne suffit plus, où même les diplomates ont besoin pour remplir leur mission, que les prophètes ici-bas remplissent la leur.
Il ne s'agit pas de fuir le réel dans la morale, comme le font les belles âmes. L'invocation des principes (ou le rappel des fondements, amour, respect, fraternité) ne doit pas tourner à l'incantation. Vous, les peuples de Dieu dans le siècle, vous êtes le levain dans la pâte. Vous n'êtes pas là seulement pour déplorer ni pour dénoncer. Mais pour proposer. Il ne s'agit pas, bien sûr, de lancer de nouvelles utopies, en escroquant une fois de plus l'increvable espérance des hommes. Il s'agit de rappeler, à haute et claire voix, les finalités partout où l'on dit : périssent les principes plutôt que l'administration. Il s'agit de rouvrir les horizons, de clarifier les enjeux, de simplifier les lignes, d'indiquer les repères au milieu de la jungle, là où règnent les lois de la jungle. Et je pense à tous les religieux chrétiens en particulier, car telle est ma culture, je pense à tous ceux qui savent aller au monde sans se rendre au monde. Inciter les pouvoirs établis, les fustiger ou les secourir, sans se substituer à eux, car ce qui est à Dieu, bien sûr, n'est pas à César.
Qu'est-ce qu'on attend de vous ? On attend une éthique internationale, qui ne remplacera pas la politique, mais qui pourra, le moment venu, lui faire honte, et donc la tirer en avant. N'ayez pas peur... de nous faire un peu peur. Vous êtes chargés de la subversion spirituelle du matériel, de subvertir la guerre, le mépris et la domination. Ce n'est pas facile. C'est une lourde tâche et grave. C'est même effrayant, j'imagine. Mais après tout, il y a 2000 ans, est-ce que c'était facile ?
[align=center][/align]
[align=center]MERCI Jean-Paul II[/align]
A la rencontre internationale internationale « Hommes et Religions » organisée par la Communauté San’Egidio à Aix-la-Chapelle, Régis Debray, écrivain, philosophe, créateur de l’institut européen en sciences des religions, dont il vient de démissionner en tant que président, a prononcé l’allocution suivante:
Je suis un professeur de philosophie, en dialogue avec les croyants, chargé par le Ministre de l’éducation de diriger le nouvel Institut européen en sciences des religions qui regroupe des historiens, des anthropologues, des philosophes. C'est le centre chargé d'organiser la «formation des formateurs» pédagogues de notre école laïque en dehors de tout esprit confessionnel ou prosélyte, et sans prétendre remplacer la catéchèse. Il s'agit d'un enseignement acceptable par tous, croyants et incroyants, catholiques, protestants, musulmans, agnostiques, attestant notre passage en France, d'une laïcité d'incompréhension à une laïcité d'intelligence.
Qu'attendons-nous de vous - représentants des grands courants spirituels de l'humanité -, nous les laïcs d'Occident ?
Nous vous demandons d'abord de nous réveiller. Nous avons besoin d'ouvrir les yeux sur le monde tel qu'il est : injuste, dangereux, et peu évangélique. Pourquoi ce besoin ? Parce que nous vivons dans la somnolence, nous qui fumons chaque jour l'opium du peuple, j'entends par là, le somnifère médiatique, aux mains de l'argent et de la facilité.
Vous êtes porteurs d'une conception globale, de la personne humaine, de sa dignité et de sa vocation profonde. Et non pas d'intérêts nationaux, étroits ou catégoriels. Votre liberté de parole est incomparable.
Nous avons besoin de prophètes. Le Saint-Père en particulier, a eu des mots, ou des gestes cruciaux - les symboles ont leur efficacité, souterraine et tenace. La visite au Mur des lamentations à Jérusalem, le non à la guerre en Irak, ont eu des effets en profondeur. Le symbolique est orphelin, les paroles de vérité cherchent un asile. Ce ne sera pas l'ONU. Monsieur Kofi Annan a une administration sur les bras. Il doit faire plaisir à tout le monde, le malheureux. Il fait donc de la diplomatie. C'est nécessaire. Mais il y a des moments où ça ne suffit plus, où même les diplomates ont besoin pour remplir leur mission, que les prophètes ici-bas remplissent la leur.
Il ne s'agit pas de fuir le réel dans la morale, comme le font les belles âmes. L'invocation des principes (ou le rappel des fondements, amour, respect, fraternité) ne doit pas tourner à l'incantation. Vous, les peuples de Dieu dans le siècle, vous êtes le levain dans la pâte. Vous n'êtes pas là seulement pour déplorer ni pour dénoncer. Mais pour proposer. Il ne s'agit pas, bien sûr, de lancer de nouvelles utopies, en escroquant une fois de plus l'increvable espérance des hommes. Il s'agit de rappeler, à haute et claire voix, les finalités partout où l'on dit : périssent les principes plutôt que l'administration. Il s'agit de rouvrir les horizons, de clarifier les enjeux, de simplifier les lignes, d'indiquer les repères au milieu de la jungle, là où règnent les lois de la jungle. Et je pense à tous les religieux chrétiens en particulier, car telle est ma culture, je pense à tous ceux qui savent aller au monde sans se rendre au monde. Inciter les pouvoirs établis, les fustiger ou les secourir, sans se substituer à eux, car ce qui est à Dieu, bien sûr, n'est pas à César.
Qu'est-ce qu'on attend de vous ? On attend une éthique internationale, qui ne remplacera pas la politique, mais qui pourra, le moment venu, lui faire honte, et donc la tirer en avant. N'ayez pas peur... de nous faire un peu peur. Vous êtes chargés de la subversion spirituelle du matériel, de subvertir la guerre, le mépris et la domination. Ce n'est pas facile. C'est une lourde tâche et grave. C'est même effrayant, j'imagine. Mais après tout, il y a 2000 ans, est-ce que c'était facile ?
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[align=center]MERCI Jean-Paul II[/align]
quelle chance, quelle chance nous avons eue d'avoir ce pape pendant presque 27 ans, pendant lesquels la barque a été agitée de vents violents, au milieu d'un monde où la charité recule sans cesse... c'était vraiment l'apôtre qu'il fallait.
il n'a pas été parfait dans tous les domaines mais il l'a été dans l'amour en tout cas.
je suis très triste de voir cette époque se refermer; tout le monde se réjouit un peu de ce que ses souffrances aient cessé, oui mais...... nous avons encore besoin de lui et nous le prierons toujours, partout dans le monde.
il n'a pas été parfait dans tous les domaines mais il l'a été dans l'amour en tout cas.
je suis très triste de voir cette époque se refermer; tout le monde se réjouit un peu de ce que ses souffrances aient cessé, oui mais...... nous avons encore besoin de lui et nous le prierons toujours, partout dans le monde.
*sola*
"le grain pourrit quand on l'entasse et fructifie quand on le sème." st dominique
"le grain pourrit quand on l'entasse et fructifie quand on le sème." st dominique
J'ai envie d'ajouter cette citation de Khalil Gibran :
" Plus profondément le chagrin creusera votre être, plus vous pourrez contenir de joie "
Alors oui, vraiment , depuis hier soir je suis confiant.
Il y a près de 27 ans, il nous avait demandé de ne pas avoir peur. Aujourd'hui encore, faisons lui confiance !
" Plus profondément le chagrin creusera votre être, plus vous pourrez contenir de joie "
Alors oui, vraiment , depuis hier soir je suis confiant.
Il y a près de 27 ans, il nous avait demandé de ne pas avoir peur. Aujourd'hui encore, faisons lui confiance !
Ne jugez pas sans entendre les deux parties. Ceux-là mêmes qui se tiennent pour des gens pieux oublient trop facilement cette règle de prudence élémentaire.
Saint Josémaria Escriva (Chemin 454)
Saint Josémaria Escriva (Chemin 454)
Texte du dimanche de Miséricorde
[align=justify]Je ne sais pas si nous parlons de la même chose, mais voici le texte que Jean-Paul II avait préparé pour le dimanche de Miséricorde et qui fut lu à titre posthume dimanche dernier:[/align]
[align=center]« Le joyeux alléluia de Pâques résonne encore aujourd'hui. La page de l'Évangile d'aujourd'hui, de Saint Jean, souligne que le ressuscité, le soir de ce jour-là, est apparu aux apôtres et leur a montré ses mains et son côté (Jn 20, 20), c'est-à-dire les signes de sa douloureuse passion, imprimés de façon indélébile dans son corps même après la résurrection. Ses plaies glorieuses, qu'il a fait toucher à Thomas l'incrédule huit jours plus tard, révèlent la miséricorde de Dieu, qui a tant aimé le monde qu'il lui a donné son Fils (Jn 3, 16). Ce mystère d'amour est au centre de la liturgie d'aujourd’hui, en ce dimanche in Albis, dédié au culte de la miséricorde divine. »
« À l'humanité, qui semble parfois égarée et dominée par le pouvoir du mal, de l'égoïsme et de la peur, le Seigneur ressuscité offre en don son amour, qui pardonne, réconcilie et rouvre l'âme à l'espoir. C'est un amour qui convertit les coeurs et donne la paix. Combien le monde a besoin de comprendre et d’accueillir la miséricorde divine ! »
« Seigneur, qui par ta mort et ta résurrection révèle l'amour du Père, nous croyons en toi et avec confiance nous te répétons aujourd'hui : Jésus, j'ai confiance en toi. Aie miséricorde de nous et du monde entier. »
« La solennité liturgique de l'annonciation, que nous célébrerons demain, nous pousse à contempler avec les yeux de Marie, l'immense mystère de cet amour miséricordieux qui jaillit du cœur du Christ. Puissions-nous, aidés par elle, comprendre le vrai sens de la joie pascale, qui se fonde sur cette certitude : celui que la Vierge a porté dans son sein, qui a souffert et qui est mort pour nous, est vraiment ressuscité. Alléluia ! »
[/align]
[align=center]« Le joyeux alléluia de Pâques résonne encore aujourd'hui. La page de l'Évangile d'aujourd'hui, de Saint Jean, souligne que le ressuscité, le soir de ce jour-là, est apparu aux apôtres et leur a montré ses mains et son côté (Jn 20, 20), c'est-à-dire les signes de sa douloureuse passion, imprimés de façon indélébile dans son corps même après la résurrection. Ses plaies glorieuses, qu'il a fait toucher à Thomas l'incrédule huit jours plus tard, révèlent la miséricorde de Dieu, qui a tant aimé le monde qu'il lui a donné son Fils (Jn 3, 16). Ce mystère d'amour est au centre de la liturgie d'aujourd’hui, en ce dimanche in Albis, dédié au culte de la miséricorde divine. »
« À l'humanité, qui semble parfois égarée et dominée par le pouvoir du mal, de l'égoïsme et de la peur, le Seigneur ressuscité offre en don son amour, qui pardonne, réconcilie et rouvre l'âme à l'espoir. C'est un amour qui convertit les coeurs et donne la paix. Combien le monde a besoin de comprendre et d’accueillir la miséricorde divine ! »
« Seigneur, qui par ta mort et ta résurrection révèle l'amour du Père, nous croyons en toi et avec confiance nous te répétons aujourd'hui : Jésus, j'ai confiance en toi. Aie miséricorde de nous et du monde entier. »
« La solennité liturgique de l'annonciation, que nous célébrerons demain, nous pousse à contempler avec les yeux de Marie, l'immense mystère de cet amour miséricordieux qui jaillit du cœur du Christ. Puissions-nous, aidés par elle, comprendre le vrai sens de la joie pascale, qui se fonde sur cette certitude : celui que la Vierge a porté dans son sein, qui a souffert et qui est mort pour nous, est vraiment ressuscité. Alléluia ! »
[/align]
On ne sait pas quel sentiment avoir... la tristesse de le voir nous quitter ? la joie et la sérénité (on ne doit pas se faire trop de souci pour lui maintenant...) ? ou une grande mélancolie apaisée, de penser que son amour est toujours présent...
En tout cas, quelqu'un d'immense, un vrai saint homme.
En tout cas, quelqu'un d'immense, un vrai saint homme.
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Quelques coïncidences assez notables:
Date de la mort du Pape Jean-Paul II: 02.04.2005 > 2+4+2+5 = 13
Heure de la mort du Pape : 21.37 > 2+1+3+7 = 13
Semaine de la mort du Pape : semaine 13
Durée du pontificat : 26 ans et 5 mois > 2+6+5 = 13
C'est à dire : 9301 jours > 9+3+1 = 13
Âge du Pape à sa mort : 85 ans > 8+5 = 13
Âge du Pape à son élection : 58 ans > 5+8 = 13
Jean-Paul II a été le 265ème Pape > 2+6+5 = 13
Jour de l'attentat : un 13 mai
Jour des apparitions de Marie à Fatima : le 13 de chaque mois
:blink:
Date de la mort du Pape Jean-Paul II: 02.04.2005 > 2+4+2+5 = 13
Heure de la mort du Pape : 21.37 > 2+1+3+7 = 13
Semaine de la mort du Pape : semaine 13
Durée du pontificat : 26 ans et 5 mois > 2+6+5 = 13
C'est à dire : 9301 jours > 9+3+1 = 13
Âge du Pape à sa mort : 85 ans > 8+5 = 13
Âge du Pape à son élection : 58 ans > 5+8 = 13
Jean-Paul II a été le 265ème Pape > 2+6+5 = 13
Jour de l'attentat : un 13 mai
Jour des apparitions de Marie à Fatima : le 13 de chaque mois
:blink:
- Christophe
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