Re: Entrées en séminaire 2013
Publié : ven. 08 nov. 2013, 16:14
De perépiscopus :
Remarques personnelles :
Monseigneur Aillet a raison de poser la question.
Au lieu de se bagarrer on ferait mieux d'agir ! Il y a urgence et plus qu'urgence !
Remarques personnelles :
Vous ne trouvez pas cela scandaleux ?Le dossier des séminaires n’avait pas été abordé en tant que tel depuis les années 80 du fait de tensions et différents entre évêques.
Monseigneur Aillet a raison de poser la question.
Au lieu de se bagarrer on ferait mieux d'agir ! Il y a urgence et plus qu'urgence !
Comment attirer les séminaristes ?
Interrogé par KTO en direct de l’Assemblée plénière de la Conférence des évêques de France, Mgr Marc Aillet, ancien prêtre de la communauté Saint-Martin, met les pieds dans le plat en demandant pourquoi autant de jeunes se tournent vers cette communauté sacerdotale (31 entrées cette année) plutôt que vers les séminaires diocésains. C’est une question que l’on doit se poser estime Mgr Aillet.
Au cours de leur assemblée, les évêques de France ont abordé la formation des futurs prêtres. Le dossier des séminaires n’avait pas été abordé en tant que tel depuis les années 80 du fait de tensions et différents entre évêques. Le climat des échanges est désormais plus apaisé. Le rassemblement des séminaristes français à Lourdes en novembre 2014 voudrait en être le signe, dans un contexte de chute des vocations sacerdotales.
3 évêques sont intervenus en séance :
Mgr Beau, auxiliaire de Paris
Mgr Blaquart pour le séminaire interdiocésain d’Orléans
Mgr Aillet, qui a ouvert un séminaire diocésain il y a 3 ans.
Mgr Aillet rappelle que, selon le code de droit canonique, l’évêque est libre d’ouvrir un séminaire dans son diocèse, sans avoir à quémander l’avis de ses confrères. Le journalistes rappelle en effet que l’ouverture, il y a 20 ans, du séminaire d’Ars puis du séminaire de Paris avaient fait grincer des dents bon nombre d’évêques.