« Habemus Gender »

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James
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« Habemus Gender »

Message non lu par James » ven. 02 mai 2014, 18:22

« Habemus Gender », le colloque international des partisans de la théorie du genre


Un colloque international organisé à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) les 15 et 16 mai prochains rassemblera des partisans de l’idéologie du genre venus d’Europe et des Etats-Unis.

L’intitulé de ce colloque est déjà très significatif : « Habemus Gender ! Déconstruction d’une riposte religieuse« . Le logo qui accompagne représente une mitre. D’emblée, on comprend que l’Université Libre de Bruxelles sera fidèle à sa réputation anticléricale en accueillant ce colloque qui a bien l’intention de régler ses comptes avec le christianisme. Les organisateurs de ce colloque ne cachent pas être en faveur « des combats féministes et des luttes homosexuelles » et en opposition avec l’Eglise catholique. Ce colloque est d’ailleurs organisé en collaboration avec la Fédération des Amis de la Morale Laïque et bénéficie du soutien du Centre d’Action Laïque.

Ce qui inquiète ce petit monde, c’est la mobilisation qui existe en France contre cette théorie du genre. Une mobilisation inattendue qui perturbe le plan subversif en cours. D’autant que cette mobilisation française suscite des émules dans d’autres pays depuis quelques mois et rend vigueur à ceux qui refusent le nouvel ordre sexuel mondial que certains voudraient nous imposer avec le concours de divers organismes internationaux.

Ce colloque affiche le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la COCOF et de la Ville de Bruxelles, autant d’institutions officielles qui, comme en France, prennent ainsi fait et cause pour cette théorie du genre mais aussi pour l’antichristianisme de cette théorie.

Bien sûr, les organisateurs de ce colloque vont user et abuser de cette stratégie qui consiste à faire parler des universitaires militants afin de donner à leurs élucubrations un vernis académique destiné à impressionner les gogos.

Mais il faut se donner la peine de chercher le parcours de chacun de ces intervenants. Commençons le travail…

David Paternotte est coresponsable de l’Atelier Genre(s) et Sexualité(s) de l’Institut de Sociologie de l’ULB. Il a notamment travaillé pour l’International Gay and Lesbian Association (ILGA) mais aussi pour la Vlaamse Gemeenschap (Communauté flamande) en tant que… « membre du réseau d’experts sur les thématiques lesbigayes« .

Joke Swiebel, a été député européen (Pays-Bas) de 1999 à 2004. A cette occasion, elle a présidé l’Intergroupe du Parlement européen sur les droits LGBT. Active parmi les féministes et le lobby homosexuel depuis les années 1960, elle a travaillé pour la délégation néerlandaise à l’ONU de 1988 à 1995, période cruciale en matière de prise en compte de la théorie du genre et des revendications LGBT par l’ONU, notamment au Congrès de Beijing en 1995.

Joke Swiebel est aujourd’hui présidente du Centre International d’information et d’archive homosexuel et lesbien (IHLIA) et membre du conseil d’administration de la Fondation du Musée Gay.

Mary-Anne Case, professeur à l’Université de Chicago, est une activiste LGBT qui participe à de nombreux colloques et publications pro-LGBT à travers le monde.

Camille Robois intervient notamment à l’Université du Maryland dans le cadre du Programme d’études LGBT.

Eric Fassin, sociologue, est professeur à l’Ecole Normale Supérieure. Il a préfacé la traduction de Trouble dans le genre, le manifeste de Judith Butler. Il est l’auteur d’une déclaration limpide : « Ce qui est cause, c’est l’hétérosexualité en tant que norme. Il nous faut essayer de penser un monde où l’hétérosexualité ne serait pas normale« .

Nous continuerons la présentation des intervenants à ce colloque dans un prochain article.

Et si vous habitez Bruxelles et si vous voulez en savoir plus sur cette entreprise de subversion qu’est la théorie du genre, ne ratez pas l’opportunité d’écouter Alain Escada ce 1er mai à 19h30 (salle St Joseph, square Frère Orban).
http://medias-presse.info/habemus-gende ... genre/9365

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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Héraclius » ven. 02 mai 2014, 20:09

Au moins, on ne peut pas les taxer d'hypocrisie ; ils s'assument dans ce qu'ils font...

Prions pour ces âmes égarées.
''Christus Iesus, cum in forma Dei esset, non rapínam arbitrátus est esse se æquálem Deo, sed semetípsum exinanívit formam servi accípiens, in similitúdinem hóminum factus ; et hábitu invéntus ut homo, humiliávit semetípsum factus oboediens usque ad mortem, mortem autem crucis. Propter quod et Deus illum exaltávit et donávit illi nomen, quod est super omne nomen, ut in nómine Iesu omne genu flectátur cæléstium et terréstrium et infernórum.'' (Epître de Saint Paul aux Philippiens, 2, 7-10)

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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par James » sam. 03 mai 2014, 15:19

Oui, tout est clair.
Avis à ceux qui avaient encore quelques petits doutes quant à leurs motivations à l'égard de l’Église Catholique...

Cinci
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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Cinci » dim. 04 mai 2014, 3:12

J'avais vu un truc chez Ellul qui méritait bien considération :
[+] Texte masqué
«... notons d'ailleurs ici un fait important, c'est que la désacralisation et la démythisation provoquent l'insignifiance. L'absence du sacré rend les actes sans aucune valeur ni signification. Ce qui différencie l'acte animal de l'acte humain, c'est précisément l'attribution de sens que l'homme est capable de faire car ceci correspond à une nouvelle organisation de cet acte lui-même, à une nouvelle ordinnation : or cela ne s'effectue que par le sacré. L'acte sexuel considéré comme sacré avait une richesse et une profondeur, qu'il n'a plus apparemment. L'étalement public, l'indifférence, l'éphémère dans ce domaine manifestent la désacralisation. [...] Tout ce que nous faisons aujourd'hui prouve à l'évidence que ce sacré a disparu.

Nous vivons manifestement dans un domaine profané, indifférent, insignifiant - ce qui se traduit par une vie sexuelle désertique et provoquant un vif découragement, et finalement la recherche de techniques sexuelles plus élaborées pour combler par l'exaspération des jeux vides du sens.

Or tout cela est sans doute exact mais me parait très insuffisant. On ne voit que l'un des aspects du phénomène car si le sexe est en effet désacralisé, c'est en tant qu'il était autrefois un domaine du sacré, celui des interdits et tabous, avec aussi d'ailleurs le sacré de transgression de fêtes par exemple - alors qu'il est devenu un moyen sacré.

Notre époque a resacralisé instantanément le sexe, en même temps qu'elle le désacralisait. Ce qui m'importe ici, ce n'est pas du tout le maintien de certains aspects traditionnels du sacré sexuel rappelé par Cox, et qu'il symbolisait par l'importance du playboy et de Miss America - cela est sans intérêt. Mais la revendication de liberté sexuelle exaspérée, la frénésie affichée sont si graves et si fondamentales aujourd'hui, non pas simplement parce que l'on veut satisfaire librement des besoins réfrénés, ni parce que l'on veut combattre de vieux préjugés dépassés (la morale sexuelle était depuis un siècle, passablement, sinon totalement effritée !) : la gravité que l'on y attache, la fureur qui s'y adjoint lorsque l'on contredit à cela, montre la profondeur du fait. Le sexe n'est plus un domaine d'activité naturelle libre, il est un instrument de combat - combat pour la liberté.

Liberté sexuelle ? Non point. La liberté tout court - celle de la sexualité étant simplement un signe, une manifestation concrète. Combat pour s'affirmer autonome et apte à vivre en soi, combat contre un ordre : il ne s'agit plus de désacraliser le domaine sexuel mais de désacraliser l'ordre par la transgression sexuelle.»
Source : J. Ellul, Les nouveaux possédés, p. 122



Que je mettrais en parallèle avec ceci :
[+] Texte masqué
«... on observe un phénomène croissant, en Europe, de limitation des droits des chrétiens, en particulier dans les pays libéraux avancés, comme le Royaume-Uni. Leur liberté d'expression est limitée par des normes incriminant l'incitation à la haine ou à la discrimination [...] on conteste aux cliniques catholiques le droit de refuser que l'avortement soit pratiqué en leur sein; des pharmaciens, médecins et infirmières sont sanctionnés en raison de leur refus de coopérer à un avortement; des salariés et fonctionnaires sont licenciés en raison de leur refus moral de l'homosexualité [...] l'avortement et l'homosexualité sont les principaux motifs, mais non les seuls, de conflits entre les chrétiens et le pouvoir politique. [...] depuis l'adoption en 2010 d'une loi sur l'égalité et la non-discrimination [en Angleterre], les sanctions et les condamnations se multiplient. Ainsi, un couple s'est vu refuser l'agrément pour être famille d'accueil en raison de son jugement sur l'homosexualité, un médecin a dû quitter ses fonctions au sein d'un service social, après s'être abstenu de prendre part à la décision de confier des enfants à des couples de même sexe, les agences catholiques d'adoption ont été contraintes de cesser leurs activités en raison de leur refus de confier des enfants à des couples de même sexe, une employée de mairie affectée à l'État civil et un conseiller conjugal ont été licenciés au nom de la non-discrimination, après avoir exprimé leur incapacité, en conscience, à célébrer l'union civile et à conseiller sexuellement un couple d'homosexuels.

[...]

L'anthropologie est devenue politique, elle est devenue du droit avec l'irruption des droits de l'homme, car ces derniers expriment une définition de l'homme. En déterminant ses droits fondamentaux, c'est l'homme lui-même qui est défini. Ainsi, en modifiant ses droits, il est possible de modifier la définition sociale de l'homme. C'est la raison pour laquelle tous les débats anthropologiques sont traduits en termes de droits de l'homme et portés devant les juges. Ainsi, il appartiendrait à présent aux politiques et aux juges des droits de l'homme de révéler l'homme à lui-même en découvrant ses caractères anthropologiques et les droits qui y sont associés. Il s'agit notamment dans la culture contemporaine de révéler à l'homme l'étendue de son pouvoir, de sa propre ''liberté''.

Aujourd'hui, la Cour européenne affirme que le suicide est un droit de l'homme; que deux hommes vivant ensemble forment une famille, et bénéficient à ce titre de la protection de la vie familiale; que l'accès aux techniques artificielles de procréation, y compris aux diagnostics prénatals et préimplantatoires, est un droit de l'homme; un «droit de mettre au monde un enfant qui ne soit pas affecté par la maladie dont ses parents sont porteurs», comme dit la Cour, etc.

A la différence d'une loi ou d'une décision de justice ordinnaire, l'affirmation d'un «droit de l'homme» s'impose comme une progression dans la vérité. Il n'y a pas de liberté de conscience face aux droits de l'homme : nul ne peut dire je ne crois pas à ce droit de l'homme. Lorsque le juge ou le politique redéfinissent la vie, la mort, la famille, le mariage, ou encore la personne, ils n'affectent pas seulement le droit, mais aussi notre perception de la réalité, et par suite de la vérité.

Par exemple : quand le droit dit qu'un enfant a deux pères (suite à une adoption), est-ce vrai ? Est-ce la réalité ? De quelle réalité parlons-nous : la réalité vraie ou la réalité fictive mais néanmoins légale et par suite contraignante ? Peut-on dire qu'un homme qu'il est une femme et doit-on le croire - en vertu des droits de l'homme - dès lors qu'il le demande ?

Ces droits donnent à l'homme la liberté du fou : celle de ne plus être contraint par la réalité, néanmoins ils prétendent définir la vérité et sont appuyés par la force de l'autorité publique.»
Source : «Discrimination de chrétiens en Europe», dans L'Église dans le monde, numéro 166, décembre 2013 (revue publiée par l'Aide à l'Église en détresse)

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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Zarus » mar. 06 mai 2014, 19:01

Il y aurait une seule personne au monde qui ne vivrait pas en chrétien que vous vous sentiriez encore persécutés. ;)
On vous oblige à être bi ou à changer de sexe ? :p
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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Héraclius » mar. 06 mai 2014, 19:05

Zarus a écrit :Il y aurait une seule personne au monde qui ne vivrait pas en chrétien que vous vous sentiriez encore persécutés. ;)
On vous oblige à être bi ou à changer de sexe ? :p
On se sent pas persécuté, on relève leur anti-christianisme. C'est tout. ^^
''Christus Iesus, cum in forma Dei esset, non rapínam arbitrátus est esse se æquálem Deo, sed semetípsum exinanívit formam servi accípiens, in similitúdinem hóminum factus ; et hábitu invéntus ut homo, humiliávit semetípsum factus oboediens usque ad mortem, mortem autem crucis. Propter quod et Deus illum exaltávit et donávit illi nomen, quod est super omne nomen, ut in nómine Iesu omne genu flectátur cæléstium et terréstrium et infernórum.'' (Epître de Saint Paul aux Philippiens, 2, 7-10)

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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Cinci » mer. 07 mai 2014, 18:19

La christianophobie en Europe inquiète le Vatican

Les Chrétiens en Europe sont de plus en plus marginalisés. C’est le constat de Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Rapports avec les États. Ce lundi le prélat a fait part de sa préoccupation lors du sommet organisé à Rome par l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe sur le thème des violences antichrétiennes. « Nous observons une augmentation importante de l’intolérance envers les chrétiens » a expliqué Mgr Mamberti en rappelant que même dans les pays à majorité chrétienne ces phénomènes de discrimination et de xénophobie existent. La plupart des actes discriminatoires ont lieu hors de la zone de l’OSCE, cependant ces pays n’en sont pas totalement à l’abri. Au contraire, on assiste dans certains pays d’Europe à une montée d’incidents préoccupants : des violences et des agressions contre des prêtres et des religieux et des profanations d’églises et de cimetières, tandis que des sites internet incitent à la haine contre les chrétiens. Selon des statistiques de la Gendarmerie française, on recense tous les deux jours en France une attaque contre une église catholique ou un cimetière. Ces gestes sont habituellement attribués par les médias à des hooligans, mais de plus en plus souvent ces actes sont accompagnés de slogans idéologiques contre l’Église et les prêtres pédophiles. « La liberté est le premier des droits de l’Homme parce qu’il est historiquement le premier à avoir été reconnu et parce que il concerne une dimension constitutive de l’être humain c’est à dire sa relation avec le Créateur », a rappelé Mgr Mamberti en citant Benoît XVI. En réponse à ce phénomène, le prélat a invité à lutter pour garantir la liberté religieuse, dont le respect est étroitement lié à la présence ou non de discrimination et de crimes à l’encontre des croyants. Parmi les propositions concrètes du Sommet de Rome, selon Andrea Tornielli, figurent la création d’une banque internationale de données sur les crimes contre les chrétiens qui favorise la connaissance du phénomène et la collaboration entre les polices et le lancement de campagnes d’informations. Le reportage de Charles-François Brejon. Parmi les initiateurs de l’évènement, Massimo Introvigne, représentant de l’OSCE pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination, en particulier religieuse. Un entretien réalisé par Charles-François Brejon


C'est jean_droit qui signalait ceci en 2012, en référence au sommet de l'OSCE tenu à Rome en 2011.

http://www.cite-catholique.org/viewtopic.php?p=243082

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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Cinci » mer. 07 mai 2014, 18:57

Zarus,
On vous oblige à être bi ou à changer de sexe ? :p
Vous n'êtes pas obligé non plus à manger de la chair humaine sur la place Tien An men. Et alors ? Vous ne pourriez pas critiquer le régime de Pinochet, je suppose ? Pinochet n'a jamais forcé des noirs à devenir blanc ...

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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Silica » mer. 07 mai 2014, 21:31

Cinci a écrit :Pinochet n'a jamais forcé des noirs à devenir blanc ...
Ah parce que dans un parallèle avec la question raciale/raciste vous (et avec vous les hétéros et les cisgenre) vous situez dans la position des noirs et les homos et les trans dans celle des blancs ?

Je ne sais pas s'il faut en :rire: ou en :cry:

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Re: « Habemus Gender »

Message non lu par Cinci » jeu. 08 mai 2014, 19:03

Je ne peux pas répondre à votre truc qui rime à rien, à la suite de ma formule volontairement dépourvue de sens (que vous avez mal saisi aussi) pour faire miroir à l'autre truc insignifiant de Zarus.


... comme Pinochet n'aura jamais forcé des noirs à changer de morphologie en laboratoire, alors c'est un chic type sûrement et on se demande bien pourquoi des humanistes, des philosophes, des professeurs d'école ou des syndicalistes iraient songer à se plaindre en rétrospective.

... comme la Cour européenne de justice n'a pas encore forcé quelqu'un à devenir homosexuel, alors tout va très bien madame la marquise, et l'on ne voit vraiment pas pourquoi des chrétiens devraient s'inquiéter de quoi ce que soit.




L'argument par le pire des cas utopiques projetés ... l'homme de paille ... afin de mieux banaliser tout le reste.

... comme le PDG de Power Corporation n'a pas encore acheté des esclaves sur le marché public de Tunis, alors les travailleurs n'ont rien à dire, tous devraient assumer leurs petites déveines (climat de travail pourri, perte de salaire, etc.) et continuer de dormir.

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