Un merci tout particulier à Nicolas-p pour ses contributions profondes en tant que médecin.
Léon a écrit : ↑mar. 13 juil. 2021, 11:45
A chacun ses responsabilités ?!
Ce discours de Macron est une véritable déclaration de guerre contre les français libres.
Pour ma part, mon corps c'est mon choix, point barre.
Je ne me soumettrai pas à cette dictature sanitaire inadmissible, et ma famille non plus.
A tous les collabos de ce régime de dictature, je tiens à les avertir que ça va tanguer dans ce pays !
J'invite tous les français libres à s'abonner à la chaine youtube de Florian Philippot, à se joindre aux actions publiques contre le passe-sanitaire, et à boycotter les établissements collabos exigeant ce passe-sanitaire inadmissible.
A tous les français libres, mobilisons-nous immédiatement !
Merci Léon.
Vacciné ou non vacciné, favorable ou non à la vaccination contre le Covid, chacun peut comprendre que la prise de possession du corps de chaque Français par une obligation vaccinale est une atteinte au droit le plus fondamental de chacun de pouvoir disposer de lui-même.
C’est contraire à la liberté fondamentale de chaque être humain tel que Dieu l’a créé et au respect des minorités qui fonde l’état de droit démocratique.
Cela ne peut se justifier qu’en cas de
nécessité certaine.
Trinité a écrit : ↑mar. 13 juil. 2021, 23:31
J'ai du mal à comprendre tout le monde...
Qu'est ce qu'il faut faire alors?
Laisser cette liberté aux personnes de ne pas se faire vacciner, dans un souci démocratique, et ainsi rester en l'état avec cette pandémie qui reprendra inexorablement et dont nous ne nous sortirons jamais !
Il me semble que la vaccination obligatoire ne propose ni une solution nécessaire à court terme, ni une solution certaine dans la balance des bénéfices et des risques à long terme.
Il y a certes un risque certain de mortalité et de surencombrement dans les hôpitaux, mais ce risque doit tenir compte du fait que la grande majorité des malades en cause sont des personnes fragilisées par l’âge ou des comorbidités.
Ceux qui le souhaitent sont vaccinés ou peuvent l’être ce qui réduit les risques à leur égard puisqu’ils sont protégés contre les formes graves à court terme. Rien ne prouve que le nombre de vaccinés dans les populations à risques (âgées ou fragilisées par des comorbidités) soit aujourd’hui insuffisant ou qu’il ne puisse atteindre un seuil suffisant.
Dès lors que, pour la plupart, ces malades à risque sont vaccinés, rien ne prouve une nécessité par rapport aux risques d’encombrement des hôpitaux.
La vaccination actuelle contre le Covid n’empêche ni d’attraper la maladie, ni de la transmettre, et elle n’est probablement efficace que pendant quelques mois. Son bénéfice est seulement de réduire les formes graves de la maladie (et donc le problème majeur du risque de surencombrement des hôpitaux qui a imposé des confinements) et, peut-être, de réduire la contagiosité. C’est certes déjà beaucoup de bénéfices à court terme, mais ce qui demeure certain c’est qu’il ne s’agit pas d’une solution certaine à long terme.
La rapidité de sa mise sur le marché ne permet pas de connaître ses effets à long terme.
Les fabricants ont été exonérés de toute responsabilité à cet égard.
La nécessité de la vaccination obligatoire comme seule solution n’est pas donc pas certaine. Il n’y a pas de certitude pour affirmer que, pour les jeunes ou les personnes sans risque particulier, les bénéfices de la vaccination contre le Covid soient certainement supérieurs aux risques, compte tenu des incertitudes à long terme.
Dans ces conditions, il n’y a pas d’évidence incontestable d’un intérêt pour tous permettant d’imposer la vaccination contre le Covid à tous.
Vouloir imposer à 100 % une vaccination incertaine, à «
tout » le monde, c’est, dès lors, clairement totalitaire.
Ce n’est plus une politique basée sur un dialogue entre des sujets différents et libres qui s’unissent pour réaliser un monde harmonieux respectueux de la singularité de chacun, à l’image de la vie d’amour que Dieu propose aux hommes en respectant leur liberté de dire non sans laquelle l’amour ne peut exister.
Lorsque la majorité détruit la liberté fondamentale de chacun de pouvoir garder la maîtrise de son propre corps par lequel chacun est présent en ce monde, elle franchit une ligne rouge.
Où s’arrêtera-t-elle dans la gestion et le contrôle du corps des individus ?
Notre génération devra-t-elle craindre une actualisation prochaine de la prophétie de la marque de la Bête ?
«
À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front, afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là : le nom de la Bête ou le chiffre de son nom. » (Apocalypse, 13, 16-17)
Une volonté majoritaire qui veut s’imposer à la minorité sans plus respecter les droits fondamentaux de la Constitution et des Droits de l’Homme, pourra-t-elle demain supprimer, à la majorité, tous les droits fondamentaux, y compris la démocratie elle-même, au nom d’une meilleure efficacité imposée par la science et la technologie, nouveaux dieux païens de notre époque ?
La majorité ne va-t-elle pas bientôt décréter qu’il n’est plus possible sur divers sujets de confier à la majorité aléatoire de ceux «
qui ne savent pas » les décisions, sanitaires autant qu’économiques ou autres, pour lesquelles il «
faut » faire confiance «
à ceux qui savent » ?
L’état de droit basé sur des dialogues, des élections, des gouvernements élus soumis à d’autres élections dans le respect de minorités assuré par des tribunaux indépendants, n’est-il pas en train de basculer vers une technocratie dans laquelle, une prétendue science sert de prétexte pour imposer une pensée unique ?
Le pouvoir prétend pouvoir imposer ce qui est «
bien » à ses yeux jusqu’au plus intime de la vie privée de chaque individu sous le prétexte que «
la » science l’impose.
La foi chrétienne c’est l’affirmation que l’individu n’est pas qu’un cerveau et que la science n’a pas le dernier mot. C’est le cœur, invité à vivre harmonie avec Dieu, qui choisit avec l’aide de la raison, mais sans être nécessairement assujetti aux raisonnements incertains. L’intelligence est un excellent outil nécessaire, mais un mauvais maître lorsqu'elle revendique un pouvoir absolu.
Les arguments scientifiques ont toute leur importance, mais ils n’ont pas nécessairement le dernier mot. Chacun doit pouvoir s’opposer à une pensée unique qui invoque la science comme une nouvelle divinité.
Ceux qui ne souhaitent pas soumettre leur corps à injection voulue par l’État sur des bases incertaines doivent pouvoir la refuser.