ce nouveau concept me semble avoir comme tare de ne pas être conçu et développé par les supposées victimes (les enfants) mais par des individus qui ont quitté ce stade (l'enfance) depuis longtemps et n'ont toujours pas réussi à s'en remettre.
Alors là je n'y comprends rien à rien. Je dois être trop idiote pour ces concepts avant-gardistes.L’intersectionnalité est consubstantielle à la recherche « childist » et l’inclusivité en est l’un des objectifs.
Je note cependant que le mot "inclusif" est drôlement à la mode. On gagne des points à l'écrire partout?
Concernant le sketch de Tiphaine D. j'ai cru au début à un vrai sketch comique puis il devient politique. La dame ne manque pas de talent d'oratrice mais parfois ça coince.
https://m.youtube.com/watch?v=v4J3m7VnlS8
Oui "le masculin l'emporte" est bien agaçant à entendre (il suffit d'en changer la formule - qui n'est d'ailleurs pas écrite dans les manuels que j'ai pu lire) et la règle de proximité qui a eu cours dans le passé me semble assez logique.
Idem pour les noms de métiers au féminins: si on dit actrice alors on dit autrice, point (auteure est d'une laideur!!!). J'ai toujours parlé ainsi.
Cette petite évolution (et non révolution) n'est pas bien compliquée et elle respecte la langue française séculaire.
Mais comme le fait remarquer une personne dans les commentaires Youtube, le turc est une langue neutre, les Turcs sont-ils plus égalitaires?
Donc il ne s'agit pas d'en faire trop avec des points partout dans le texte et des "iel" a tout va. Je ne me sens pas exclue des "citoyens" au masculin-neutre. Faut être un peu tordu pour penser le contraire.
Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ.
Saint Paul, précurseur de l'inclusivité